07 juillet 2017 (ivoireagro.com) •Si le colza est aujourd’hui la graine oléagineuse la plus consommée pour fabriquer des biocarburants en Europe, de plus en plus d’huile de palme est utilisée faisant des conducteurs européens les plus grands consommateurs d’huile de palme en Europe, selon un constat fait par Laura Buffet de l’ONG Trasnport&Environment dans Euractiv.
Si le colza est aujourd’hui la graine oléagineuse la plus consommée pour fabriquer des biocarburants en Europe, de plus en plus d’huile de palme est utilisée faisant des conducteurs européens les plus grands consommateurs d’huile de palme en Europe, selon un constat fait par Laura Buffet de l’ONG Trasnport&Environment dans Euractiv.
Un état de fait qui pourrait toutefois changer avec la volonté de l’Union européenne de se porter vers les biocarburants de deuxième génération - fabriqués à partir du recyclage de déchets ou résidus végétaux - et troisième génération (algues, levure) délaissant ceux de premières générations issus de cultures comme les céréales ou la betterave à sucre (bioéthanol) ou les oléagineux, colza, tournesol, huile de palme (biodiesel). En effet, la Commission européenne a proposé en novembre dernier de réduire de moitié à 3 ,8% (contre un premier objectif de 7%) la part des biocarburants de première génération dans les carburants de transports entre 2021 et 2030. Une proposition aujourd'hui encore en débat.
En France, Nicolas Hulot, ministre de la Transition écologique et solidaire, en présentant hier son Plan Climat a pointé aussi l’huile de palme dans sa volonté de contribuer à la lutte contre la déforestation. Il veut mettre fin à l’importation des produits forestiers ou agricoles contribuant à la déforestation. Une décision « très importante car nous allons ferme une fenêtre qui donnait la possibilité d’incorporer de l’huile dans les biocarburants » a-t-il indiqué lors d’une conférence de presse.
Si le colza est aujourd’hui la graine oléagineuse la plus consommée pour fabriquer des biocarburants en Europe, de plus en plus d’huile de palme est utilisée faisant des conducteurs européens les plus grands consommateurs d’huile de palme en Europe, selon un constat fait par Laura Buffet de l’ONG Trasnport&Environment dans Euractiv. Un état de fait qui pourrait toutefois changer avec la volonté de l’Union européenne de se porter vers les biocarburants de deuxième génération - fabriqués à partir du recyclage de déchets ou résidus végétaux - et troisième génération (algues, levure) délaissant ceux de premières générations issus de cultures comme les céréales ou la betterave à sucre (bioéthanol) ou les oléagineux, colza, tournesol, huile de palme (biodiesel). En effet, la Commission européenne a proposé en novembre dernier de réduire de moitié à 3 ,8% (contre un premier objectif de 7%) la part des biocarburants de première génération dans les carburants de transports entre 2021 et 2030. Une proposition aujourd'hui encore en débat. En France, Nicolas Hulot, ministre de la Transition écologique et solidaire, en présentant hier son Plan Climat a pointé aussi l’huile de palme dans sa volonté de contribuer à la lutte contre la déforestation. Il veut mettre fin à l’importation des produits forestiers ou agricoles contribuant à la déforestation. Une décision « très importante car nous allons ferme une fenêtre qui donnait la possibilité d’incorporer de l’huile dans les biocarburants » a-t-il indiqué lors d’une conférence de presse.
Source:
commod africa